Les exterminationistes se réjouissent des discutions avec l’Etat.
En effet, « les pouvoirs publics semblent enfin disposés à entendre les arguments des éleveurs et à modifier la réglementation afin de mettre en oeuvre une gestion efficace de la population de loups », écrivent aujourd’hui les principaux syndicats agricoles – Fédération nationale des syndicats agricoles (FNSEA), Jeunes agriculteurs (JA), Fédération nationale ovine (FNO) – et Chambres d’agriculture dans un communiqué commun. « L’ensemble des participants se sont entendus sur l’objectif de diminution rapide et conséquente de la pression de prédation sur les troupeaux qui est arrivée à un niveau totalement insupportable », estiment les participants en plaidant pour « des tirs de défense plus aisés à mettre en oeuvre et plus efficaces pour protéger les troupeaux ».
Tout ceci ne laisse rien envisager de bon et François Hollande lui-même s’était déjà rangé dans le camp des anti-loups. Quant aux pseudo écolos du gouvernement, souvenons-nous des funestes paroles de Joseph Bové qui préconisait, face au loup, de prendre le fusil et de ne rien dire.
A noter que malgré un courrier du ministère de l’écologie, l’association Le Klan du Loup – 1ère association française 100% loup – n’a toujours pas été conviée aux discutions du futur Plan Loup ; un mauvais signe.
association Le Klan du Loup